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Les pairs sont des agents sociaux importants pour les jeunes et les relations d’amitié significatives qui se tissent durant l’adolescence sont susceptibles de satisfaire les besoins psychologiques nécessaires au développement de la motivation. Celle-ci, à son tour, peut contribuer à diminuer le risque de décrochage scolaire.

À l’école, l’élève commence petit à petit à apprendre à lire, à écrire, à compter. Au fil des années, il arrive à nommer les chiffres, les lettres, les symboles. Il réussit même à nommer les équations mathématiques compliquées ou les équations chimiques embrouillées. Ce processus d’apprentissage évolue en passant par différents épisodes émotionnels (stress, dégoût, frustration, démotivation, joie, motivation, excitation, etc.). Une question se pose : l’élève arrive-t-il à nommer ses émotions au même titre que les chiffres et les lettres ?

De nombreux parents considèrent que leurs adolescents passent beaucoup trop de temps sur les téléphones intelligents, les jeux vidéo et les médias sociaux. Contrairement à ces croyances, des chercheurs de l’Université de l’État du Michigan ont conclu qu’il ne fallait pas s’alarmer du temps passé devant l’écran. Ces chercheurs s’inquiètent plutôt des adolescents qui ne sont pas connectés dû au fait qu’ils ont un accès limité à l’Internet.

Le rôle du suppléant, au Québec, est de remplacer l'enseignant titulaire d'une classe pour une courte ou une longue durée. Plusieurs enjeux sont soulevés par ce système de remplacement. Parmi ceux-ci, l'instabilité et la précarité professionnelle des suppléants, l'insuffisance d'opportunité pour la formation continue ainsi que le manque d'appartenance à une équipe-école et à une communauté syndicale. Ce métier diffère de celui d'un enseignant titulaire et requiert des stratégies différentes. Quelques ressources pour faciliter l'intégration des suppléants sont présentées ci-dessous.

La collaboration école-famille devrait permettre à la culture familiale et à la culture scolaire de s’influencer mutuellement. Il importe donc que le personnel enseignant travaille avec le parent et non pour le parent. Pour ce faire, les enseignantes et les enseignants doivent créer des activités de collaboration favorisant le développement d’une relation socioéducative.

Dans le but d’outiller les enseignants, notamment pour qu’ils puissent développer leur confiance lors de certaines situations pédagogiques, l’article de Maxwell[1], McDonough[2] et Waddington[3] (2020) aborde la question suivante : quelles sont les limites raisonnables encadrant l’enseignement de sujets controversés? Dans les balises juridiques qui sous-tendent la liberté d’expression, l’analyse des trois professeurs dégage quatre grands principes en lien avec le rôle de l’enseignant.

L’interaction avec la nature et le monde extérieur procure plusieurs bienfaits aux enfants du primaire tant sur le plan social que scolaire De plus en plus d’enseignants choisissent d’ajouter des pratiques issues de la pédagogie en plein air à leur répertoire pédagogique. Les chercheurs de cette étude font un survol des perceptions des enseignants vis-à-vis des pratiques de pédagogie en plein air et les facteurs qui influencent l’intégration de celles-ci dans leur enseignement.

Comment les parents réfugiés accompagnent-ils leurs enfants dans le système scolaire canadien? Cette étude examine les défis et les obstacles rencontrés par les familles de réfugiés au Canada afin de déterminer les meilleures pratiques pour favoriser la collaboration parents-école pour ces familles.

  Vos élèves ont de la difficulté à se concentrer?  Ils semblent anxieux et/ou submergés par leurs pensées? Avez-vous essayer des séances de méditation en classe? Cette semaine, nous vous proposons une nouvelle ressource: l’application Petit Bambou Jeunesse. Initialement conçu pour les adultes, Petit Bambou offre maintenant une panoplie de ressources pour aider les jeunes […]

Nous présentons ici une synthèse des résultats obtenus dans le cadre d’une recherche de maîtrise (Dumouchel, 2020), s’inscrivant dans une plus vaste étude portant sur les activités culturelles dans les écoles (Dezutter, Beaudry, Lemonchois et Falardeau, 2018). La source principale des données réside dans des entrevues de groupe réalisées auprès des élèves quelque temps après qu’ils ont participé à la rencontre avec une écrivaine ou un écrivain.