Secondaire

Dans ce contexte, comment créer en milieu scolaire des espaces de réflexion propices au développement, chez les jeunes, d’une compétence éco-psycho-spirituelle qui leur permettrait d’être plus conscients de la fragilité de ce monde, de se sentir responsables à l’égard du vivant et de s’engager dans des actions écocitoyennes? Dans deux articles, la chercheuse Virginie Boelen propose de mettre en place un nouveau modèle éducationnel qui prend en compte la spiritualité des jeunes dans un contexte d’éducation relative à l’environnement (ERE).

Dans une recherche-action menée de 2016 à 2019, l’équipe de l’étude composée de Nancy Goyette, Stéphane Martineau, Brigitte Gagnon et Julie Bazinet ont créé une communauté d’apprentissage préconisant la psychopédagogie du bienêtre afin de soutenir la réussite éducative des élèves. Cette forme de psychopédagogie intègre des interventions pédagogiques bienveillantes afin d’aider les élèves à ressentir du bienêtre, à s’épanouir et à fonctionner de manière optimale dans diverses situations en contexte scolaire.

Les changements climatiques auxquels nous sommes confrontés demandent aux jeunes, particulièrement concernés par le phénomène, de développer leur pouvoir agir afin de promouvoir une plus grande justice sociale et environnementale.

La société d’aujourd’hui ne se contente plus des compétences scolaires. Certes, le savoir-faire est important, mais le regard se porte de plus en plus sur le savoir-être et sur les compétences comportementales.

L’auteur de cet article partage ses observations concernant les incidences de l’actuelle crise sanitaire sur l’utilisation d’appareils mobiles (téléphone, ordinateur, tablette) en classe. Il présente ensuite des pistes de solution susceptibles de corriger les problèmes liés à l’usage de ces appareils en cours et qui correspondent à différents styles de gestion de classe ou à diverses approches pédagogiques.

Le présent mémoire, présenté comme exigence partielle de la maîtrise en éducation de l’Université du Québec à Montréal, brosse un portrait de l’utilisation du récit de fiction en classe de français pour susciter le développement de l’empathie chez les adolescents.

Peu importe le milieu, il est fréquent d’échanger avec des amis, des collègues ou des connaissances afin d’obtenir un point de vue extérieur par rapport à une situation vécue. Ce point de vue externe pourrait être utile si une situation similaire se produisait, car il serait susceptible de changer positivement la façon d’y réagir. Dans la même optique, les perceptions des élèves présentant des difficultés comportementales par rapport aux différents types de retrait pourraient contribuer à une utilisation plus éducative et efficace du retrait de classe.

Vygotskij proposait pourtant à la fin des années 1920 de privilégier les diagnostics pédagogiques dans les milieux éducatifs autour de la Zone de développement proche (ZDP)[1]. Il insiste alors sur la nécessité de ne pas figer, comme on le ferait avec une photographie, le développement réel. Il insiste : c’est remarquable ce qu’un enfant peut accomplir pour peu qu’il soit accompagné (développement potentiel).

La démarche des cercles d’auteurs est une démarche collaborative d’enseignement et d’apprentissage de l’écriture, qui mise sur une intégration des compétences à lire, à écrire et à communiquer oralement. Elle est susceptible de contribuer au développement du plaisir et de la motivation à écrire de même qu’à la compétence scripturale des élèves, en particulier en ce qui a trait au processus de révision de texte.

Communiquer avec nos adolescents dans un monde où leur univers gravite à l’intérieur d’un cyberespace qui, parfois, nous échappe demeure un défi quotidien. Découvrez dans cet article, une nouvelle perspective permettant d’amorcer positivement une dynamique relationnelle de proximité en utilisant les réseaux sociaux fréquentés par nos ados.