Diversité et éducation inclusive

La pratique du redoublement est contestée. Est-ce une réponse efficace aux difficultés des élèves? Répéter une année est-il bénéfique pour les apprentissages? Une étude américaine se penche sur cet enjeu en ciblant l’impact de cette pratique sur les pairs.

Les résultats peuvent être particulièrement utiles aux acteurs locaux et régionaux préoccupés par le développement des enfants, tels que les centres de santé et de services sociaux (CSSS), les milieux scolaires, les organismes communautaires, les services de garde éducatifs, etc.

L’obtention du brevet d’enseignement ne met pas un terme à la formation des enseignants. Durant leur pratique professionnelle, ils doivent tenir leurs connaissances à jour. Mais il n’y a aucune obligation de ce côté.

Quel est l’impact de l’activation de l’idée d’un stéréotype sexuel du style « Les garçons sont bons en maths et les filles en français » sur la réussite scolaire et le choix de carrière des jeunes?

L’union libre au Québec est progressivement devenue une alternative au mariage comme mode de formation de la famille. L’état matrimonial des parents peut-il influencer le développement de leurs enfants? Les effets de la séparation d’une union libre ou d’un mariage diffèrent-ils?

Tous les parents d’ados le savent, la période de l’adolescence est caractérisée par une tendance à se coucher et se lever plus tard. Mais si les ados ont tendance à dormir tard le matin, c’est que leur corps le veut ainsi. Alors, pourquoi leur faire débuter l’école très tôt le matin?

La réussite éducative est un enjeu majeur pour les enfants provenant de milieux défavorisés ou qui sont en difficulté. Deux chercheuses de l’Université Laval présentent des caractéristiques qui définissent les pratiques éducatives les plus efficaces pour soutenir ces jeunes.

Faisant partie d’une hiérarchie d’habiletés métalinguistiques, la conscience phonologique est la conscience que les mots sont composés de phonèmes ou de sons.

L’organisme communautaire Projet 80 œuvre auprès des jeunes du quartier Centre-Sud de Montréal depuis plusieurs années.

L’étude révèle que les jeunes ont des attitudes plus positives que leurs aînés envers les personnes ayant une déficience intellectuelle.