Rédigé par Sophie Moullin, Jane Waldfogel et Elizabeth Washbrook, ce rapport montre qu’un attachement sécurisant dans les trois premières années de vie sert de « base de sécurité » pour le développement ultérieur de l’enfant, lui permettant une participation sociale optimale.
L’attachement sécurisant s’obtient grâce à la chaleur et à la sensibilité , ce que les parents en situation économique et émotionnelle précaire peuvent avoir de la difficulté à fournir.
Résultats
- « Le lien que l’enfant développe avec ses parents en bas âge est essentiel à son épanouissement.
- Un enfant sans lien parental sécurisant est plus susceptible de présenter des troubles de comportement et de littératie.
- Les garçons qui grandissent dans la pauvreté sont deux fois et demie moins susceptibles d’afficher des problèmes de comportement à l’école s’ils ont un attachement sécurisant avec leurs parents dans leurs premières années de vie.
- Beaucoup d’enfants n’ont pas d’attachement sécurisant. Environ 1 enfant sur 4 évite ses parents quand il est en colère, parce que ceux-ci ignorent ses besoins.
- Le plus grand prédicteur d’attachement insécurisant pour un enfant est que ses parents ne soient pas attachés de façon sécurisante eux-mêmes. »
[Consulter le rapport]
Dernière modification : 24 novembre 2020.
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Mots-clés : développement_enfant, attachement, école_famille_communauté, famille, parent, préscolaire, sécurité, implication_des_parents
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